de Jean Michel GUENASSIA 2010
J'ai du mal à croire qu'il s'agit d'un premier roman, car le sujet est extrêmement maîtrisé, le style agréable et l'ensemble facile à lire. Tout au long de ces 757 pages mon intérêt n'a pas faibli. Le livre débute par un enterrement dont on comprend vite qu'il s'agit de celui d'un philosophe célèbre dont je porte le patronyme. Celui-ci, avec Joseph Kessel a soutenu tout un groupe de transfuges de l'Est, joueurs d'échecs acharnés qui se réunissaient dans une arrière salle du Balto : ce sont eux les incorrigibles optimistes. C'est vrai qu'il leur fallait de l'optimisme pour vivre de petits boulots, sans perspectives de retour au pays, sans nouvelles de leurs proches...
Toute l'histoire, ou plutôt les histoires du début des années 1960 sont racontées par Michel, un jeune homme, lecteur acharné, élève du lycée Henri IV. Ces histoires s'entrecroisent et le mystère qui entoure Sacha, laborantin-photographe clandestin entretient un suspens formidable jusqu'aux dernières pages.
A lire absolument. JLS
J'ai du mal à croire qu'il s'agit d'un premier roman, car le sujet est extrêmement maîtrisé, le style agréable et l'ensemble facile à lire. Tout au long de ces 757 pages mon intérêt n'a pas faibli. Le livre débute par un enterrement dont on comprend vite qu'il s'agit de celui d'un philosophe célèbre dont je porte le patronyme. Celui-ci, avec Joseph Kessel a soutenu tout un groupe de transfuges de l'Est, joueurs d'échecs acharnés qui se réunissaient dans une arrière salle du Balto : ce sont eux les incorrigibles optimistes. C'est vrai qu'il leur fallait de l'optimisme pour vivre de petits boulots, sans perspectives de retour au pays, sans nouvelles de leurs proches...
Toute l'histoire, ou plutôt les histoires du début des années 1960 sont racontées par Michel, un jeune homme, lecteur acharné, élève du lycée Henri IV. Ces histoires s'entrecroisent et le mystère qui entoure Sacha, laborantin-photographe clandestin entretient un suspens formidable jusqu'aux dernières pages.
A lire absolument. JLS
